Lu dans le quadri-hebdomadaire axonais de samedi.
La presse locale se fait l'écho des succès aux examens tels le diplôme national du brevet, le baccalauréat, le B.E.P., le C.A.P.
MC5 : Aide à domicile : Adrien BUTIN
(MC5 : qualification spécialisée post CAP)
Diplôme national du brevet : Bayram-André AYDIN (mention Bien), Clément BACHELET (mention Très Bien), Justine BONNET, Amélie MARCOTTE (mention Assez Bien), Fabien LESUEUR (mention Assez Bien)
Baccalauréat technologique : STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) : Vincent HULIN, Manon VAN LIERDE (mention Assez Bien)
Baccalauréat professionnel : Maintenance véhicules automobiles et motocycles : Maxime MARCOTTE
A toutes et à tous, Infos-Essigny vous adresse ses chaleureuses félicitations et vous souhaite réussite dans la poursuite de vos études ou dans votre vie professionnelle.
Tous les impétrants essignyacois n'y figurent pas : certains candidats ont coché la case empêchant l'administration de diffuser leur nom en cas de réussite à l'examen.
Malgré une lecture attentive des listes, des noms ont pu échapper à la vigilance de notre lectrice. Infos-Essigny vous prie par avance de l'excuser et ajoutera avec plaisir votre nom, celui de votre enfant à ce tableau d'honneur si vous nous en informez en cliquant sur le lien "contact" sous le blason communal dans la colonne de droite et en complétant les rubriques du formulaire. Il en est de même pour ceux qui auraient obtenu un diplôme d'un niveau supérieur et dont la presse locale ne fait pas écho.
Si, nous avons utilisé une photo, ou un texte, d'une façon abusive, si vous estimez que la publication de votre nom vous porte préjudice, si nous avons fait une erreur, merci de nous le faire savoir en complétant le formulaire obtenu par le lien "contact" sous le blason communal dans la colonne de droite, nous retirerons ces textes, photos et noms, nous corrigerons les erreurs.
Les travaux d'aménagement du parvis de la gare reprennent.
D'abord, et de nouveau, des fouilles archéologiques. Rappelez-vous, on y avait trouvé les fondations d'un fort à la Vauban. Que va-t-on y découvrir cette fois-ci ?
Puis les travaux démarreront vraiment. Au moins 15 mois au total.
En attendant on ne stationne plus ni devant la gare ni devant le monument aux Morts.
Partez quelques minutes plus tôt de chez vous pour trouver un stationnement plus éloigné, le champ de foire par exemple.
Erreur ! la fin des travaux n'est pas prévue pour octobre 2015. Il faut ajouter 12 mois. c'est octobre 2016.
La dernière voiture s'en va.
Faute de quorum, le syndicat intercommunal scolaire du Noirieu n'a pu délibérer valablement. Il devait être question de création d'emploi : il faut recruter au moins un animateur à temps non complet pour quelques mois.
Une nouvelle réunion est prévue le jeudi 24 juillet à 18 h 30 min sur le même sujet. Il n'y sera plus question de quorum.
Dès le 15 juillet peut-être, deux jours après le tir du feu d'artifice, des tirs retentiront la nuit.
Il s'agit de tirs de régulation de la population des renards.
La validité des cartes d'identité émises après le 1er janvier 2014 est prolongée de 5 ans.
Sauf que ...
le ministère des affaires étrangères conseille « fortement » pour éviter tout désagrément de privilégier l’utilisation « d’un passeport valide à une carte nationale d’identité portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité »
On est mené.
18 h 50 sur la place de l'Hôtel de Ville : pas d'écran géant pour masquer la façade flamboyante de l'hôtel de ville mais du monde aux terrasses des bars devant de grands écrans. On sent déjà que la victoire a filé dans le camp adverse : seuls, quelques rares coups de trompe ponctuent des conversations où l'on refait déjà le match mais le bleu blanc rouge est toujours là : des joues tricolores, des capes, des maillots aux couleurs de l'équipe favorite, des écharpes, des drapeaux,....
19 h 5 min, dans un resto, à quelques pas de là : des profs fêtent la fin de l'année scolaire. L'ambiance n'y est pas, là non plus. Pas étonnant, dans le fond de la salle, un écran, celui que le patron du resto a descendu de son salon. Et devant cet écran, ils sont là, assis, bien en ligne, comme les plus studieux de leurs élèves (ceux qui ont le bac en poche depuis quelques heures) et ils regardent le match. Peu de frémissements de joie dans la salle. Ce n'est pas gagné. Aux derniers rangs, quelques professeures papotent et rient tandis que dans le patio voisin les enfants des profs savourent leurs premiers instants de vacances. En ont-ils d'ailleurs des vacances ces enfants de prof : ne vont-ils pas visiter des musées, écouter des concerts dans les festivals d'été, remplir des cahiers de devoirs de vacances corrigés chaque soir par leurs profs (pardon, parents).
On a perdu
Presque 20 heures : retour sur la place de l'hôtel de ville. Les premiers groupes quittent l'endroit. lls sont silencieux, ils tiennent nonchalamment leurs drapeaux, ils ont roulé leurs écharpes en boule. Même le bleu, blanc, rouge des joues semble plus pâle. Pas de doute, on a perdu. La place retrouve son calme et seuls restent les consommateurs attablés. Les serveurs, jusque là au repos, se mettent à courir pour satisfaire l'appétit vite retrouvé des clients.
Sacrilège
20 h 30 : tout à coup, une bonne douzaine de séniors bousculent une des barrières qui empêche l'accès à la plage de l'hôtel de ville et vont s'installer sur les fauteuils qui attendent l'inauguration du samedi. Les vigiles, gardiens de la plage, en restent comme deux ronds de flan. Leurs chiens aboient, prêts à en découdre avec ces importuns et semblent dire à leurs maîtres : "Alors, qu'est-ce qu'on attend ?" D'un pas hésitant (comment faire déguerpir ces anciens à qui ont doit le respect. Un jeune, ils savent le chasser ou croient savoir, mais un "vieux" et même pis, douze vieilles et deux vieux, comment faire ?). Ils sont sauvés par l'arrivée de Francis Crépin, le maître carillonneur qui leur explique que les amateurs du carillon sont autorisés à s'installer sur le sable fin avant l'inauguration par le seigneur de ces lieux (*).
Les premières notes jouées par la carillonneuse s'envolent dans le ciel mais ne couvrent pas le son d'une musique qui passait alors inaperçue : du hip-hop sur lequel quelques jeunes se déhanchent et gesticulent. Les pièces jouées au carillon s'enchainent au grand bonheur des mélomanes. Les autres ont parfois du mal à reconnaître les arrangements pour carillon d’œuvres majeures de Vivaldi, Ravel, Offenbach ou de chansons interprétées à l'origine par Jean Ferrat ou Édith Piaf.
Quelques voitures tournent encore dans le centre ville et passent à intervalles réguliers soulignés par des coups de klaxon de plus en plus discrets. Leurs occupants fêtent-ils le bac ?
La place retrouve peu à peu son calme.Un Essignyacois déçu sirote un demi à la terrasse du Carillon. Le prof de philo, après avoir passé la journée à conseiller ceux de ses élèves qui doivent se présenter à l'oral, s’imprègne de l'ambiance....
Les relents âcres des cuisines des brasseries tournant à plein régime gâchent le plaisir de flâner sur la place.
(*) Il s'agit bien sûr de Jean-Paul LESOT, Monsieur Micro des évènements de la ville.
Son passage sur la route du côté de la rigole lui a été fatal.
Photo Adeline
Beau spécimen de couleuvre à collier.
Wikipédia nous en apprend un peu plus sur ce reptile :
La couleuvre à collier, Natrix natrix, est une espèce de serpent de la famille des Natricidae. Elle peut arborer des couleurs allant du gris au noir, en passant par le brun et le verdâtre, mais elle est généralement reconnaissable au motif clair qu'elle porte sur la nuque et qui lui a valu son nom vernaculaire. Sa taille varie de 65 cm à plus de 1,40 m, voire jusqu'à 2 m, les femelles étant plus grandes que les mâles.
Ce serpent est largement répandu en Europe ainsi qu'en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Il vit généralement non loin des cours et plans d'eau, où il trouve les amphibiens dont il se nourrit principalement. Il peut également chasser des poissons ou des micromammifères. Il peut se déplacer rapidement et avec aisance, aussi bien sur la terre ferme que dans l'eau. Il est non venimeux et inoffensif pour l'Homme. L'espèce est ovipare et a une espérance de vie d'environ 25 à 28 ans.
Par le passé, de la préhistoire à une époque très récente, la couleuvre à collier a été consommée par l'homme. Aujourd'hui, elle n'est pas considérée comme menacée même si, localement, certaines sous-espèces ou populations sont en danger d'extinction. Elle fait l'objet de mesures de protection dans certains pays où elle vit, notamment en Europe où elle est protégée par la convention de Berne.
La course nature organisée par l'ASL Morcourt ce dimanche 6 juillet va emprunter la route entre Homblières et Essigny faute de pouvoir longer la rigole.
Dans sa grande sagesse, le Conseil général a restreint la circulation sur une distance légèrement supérieure à 1 km. Les véhicules ne pourront circuler que dans le sens de la course et ne pas dépasser la voiture balai.
Sachant que les coureurs utiliseront deux tronçons différents, l'un en direction d'Essigny, l'autre en direction d'Homblières, qu'il s'agit d'une course à pied et que des écarts importants se creusent rapidement entre premiers et derniers, il vaudra mieux faire un détour entre 8 h 30 et 11 h 30.
Le jazz aux Champs-Élysées, ce sera pour le dimanche 13 juillet à 17 heures.
En attendant, weekend carillonnant à Saint-Quentin avec 3 concerts d'une heure vendredi 4, samedi 5 et dimanche 6 juillet à 20 h 30 min. A écouter les pieds dans le sable sur la plage de l'Hôtel de Ville.
Concert d'orgue à la basilique le dimanche 6 à 16 h. Accès libre.
/fdata%2F3156084%2Favatar-blog-1111099352-tmpphpun6cIL.jpeg){kind=avatar}
/idata%2F3156084%2Fhalloween%2FPaques-2011%2FPaques-2011-3481.JPG)
/idata%2F3156084%2FFonsomme-et-Croix%2F02---Fonsomme.jpg)
/idata%2F3156084%2FLa-fete-du-millenaire-vue-par-Daniel%2F01---une-pause-lors-du-montage.jpg)
/idata%2F3156084%2Fflammes%2F01.jpg)
/idata%2F3156084%2FAu-dessus-d-Essigny%2F03.jpg)
/idata%2F3156084%2F19-juin%2FDSC04858.jpg)