14 janvier 2011
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Les inscriptions pour la visite du Salon de l'Agriculture sont encore ouvertes ; cependant il ne vous reste que deux voire trois jours
pour vous inscrire, après il sera trop tard.
On peut profiter de l'occasion non pour visiter le salon mais pour une grande balade en toute liberté dans Paris.
Revoir l'affichette ci-dessous
Publié par jphb
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La vie communale
14 janvier 2011
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Ou plutôt ... marchande de charbons.
En 1904, dans l'état-civil de Fonsomme, on peut lire :
Clémence Suzannie Armance TELLIER, âgée de 52 ans, marchande de charbons à Essigny-le-Petit.
A cette date, elle était veuve de Maurice Maximilien CHEVALIER, de son vivant, chef cantonnier.
Cette dame était présente et consentante au mariage de son fils Louis Maximilien CHEVALIER, cultivateur, né le 5 avril
1881 à Essigny-le-Petit avec Victoire BOURQUIN, brodeuse, née à Fonsomme le 6 février 1883, fille de feu BOURQUIN Jules Clément Louis Joseph et de MENU Marie-Louise Victoire, 50 ans,
couturière.
Dans les années 1920, sur une facture de la maison CHEVALIER-BOURQUIN, il est fait mention de cafetier, vente de
charbon, de bois de chauffage et de transports.
A cette époque Amédée CHEVALIER était maire adjoint, ce qui explique les remboursements demandés sur la facture
ci-dessus "Avoir payé .... pour les prix du 11 novembre 1920"
Amédée CHEVALIER sera élu maire le 13 août 1922.
Publié par jphb
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Les 1000 ans
13 janvier 2011
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Il s'en est fallu peut-être de peu qu'Essigny accueille non pas des naufragés de la route mais des naufragés du rail.
Quelques photos prises par un cheminot dans le Vermandois.
Malgré les (ou à cause des) avancées technologiques, les situations exceptionnelles s'accommodent mal de la réduction
des moyens humains.
Publié par jphb
12 janvier 2011
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Demain, d'autres trains.
11 janvier 2011
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Frère et soeur.
La grande soeur a été essignyacoise pendant quelques dizaines d'années. Elle a toujours de la famille dans la
commune.
Elle fut blessée à Lesdins, où elle habitait, le 17 mai 1940 lors du mitraillage d'un convoi composé d'hommes de
troupe, de camions de munitions, d'ambulances et de civils.
La reconnaissez-vous ?
Pour en savoir plus, achetez le numéro 9 de Histoire et Généalogie axonaise.
En vente à la Maison de la presse sur la place de l'Hôtel de Ville de Saint-Quentin ou par correspondance auprès de
Généalogie-Aisne.
Publié par jphb
10 janvier 2011
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Le principe : on laisse son bac à ordures sur le trottoir : le camion passera dès qu'il le pourra : le jour
habituel ou un autre jour.
Ci-dessous, le c ommuniqué de la communauté d'agglomération.
Publié par jphb
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La vie communale
9 janvier 2011
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Publié par jphb
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La vie communale
7 janvier 2011
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Après un mois de décembre plus froid qu'à l'habitude et la grande douceur d'aujourd'hui, je vous propose
cette page frigorifiante qui débute le 7 janvier 1709
Ce jour-là commença l'un des plus terribles froids dont on a gardé le souvenir, un hiver, comme le dit Saint-Simon, qui « fut de
deux mois au-delà de tout souvenir ». On pouvait aller à pied du Danemark en Suède. Le Zuyderzee fut totalement gelé et même, ce qui ne s'était produit qu'en 1234, tous les canaux et la
lagune de Venise furent pris par les glaces.
Le mardi 8 janvier 1709, le marquis de Dangeau notait dans son Journal : « Le roi n'a point voulu aujourd'hui
aller à Trianon, parce qu'il vit hier, en allant à Marly, que ses gardes et les officiers qui le suivaient souffraient trop du froid excessif qu'il fait, car pour lui, ni le froid ni le chaud,
quelque temps qu'il fasse, ne l'incommode jamais. »
Le 26 janvier, on put voir sur le Grand-Canal des boeufs tirer des traîneaux contenant des approvisionnements. Dans toutes les
forêts d'Europe, les cerfs et les sangliers mouraient par milliers. Les courriers répétaient comme un leitmotiv : « On ne se souvient pas d'avoir ressenti un froid pareil. »
Cependant, le froid prit une telle ampleur que Louis XIV, qui avait alors plus de soixante-dix ans, demeura confiné chez Mme de Maintenon. La température était atroce. « L'eau de la
reine de Hongrie, les élixirs les plus forts et les liqueurs les plus spiritueuses cassèrent les bouteilles dans les armoires de chambres à feu et environnées de tuyaux de cheminées, dans
plusieurs appartements de Versailles. »
Un magistrat parisien nous rapporte que « le pain gelait sur la table à mesure qu'on le mangeait. Le vin même gelait dans la
cave. La bouteille de vin de Champagne se trouva toute gelée à l'exception d'un demi-verre qui était resté dans le centre de la bouteille, qui était tout l'esprit du vin et qui se trouva plus
fort que de l'eau-de-vie. »
Toujours au cours de cet effarant mois de janvier 1709, le copiste de la marquise d'Huxelles dut interrompre son travail au milieu
d'une lettre : l'encre de son encrier était gelée. Un incendie se déclara à Paris : lorsqu'on voulut sonner le tocsin, les cloches cassèrent ! Toutes les rivières de France étaient
prises ; les moulins ne pouvaient tourner et les boulangers n'eurent plus de farine. Des centaines de personnes furent trouvées mortes de froid dans leur lit. Les oiseaux, gelés, tombaient
en plein vol.
Publié par jphb
7 janvier 2011
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D'un quotidien picard
Les stops ont quitté le paysage essignyacois.
La priorité à droite est de retour.
Si vous lisez cette page tôt ce 7 janvier, tous les anciens panneaux n'auront peut-être pas encore disparu.
Prenez garde aux automatismes acquis depuis des décennies que vous soyez usagers de la "grande" route ou de la "petite"
route.
Publié par jphb
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La vie communale