23 août 2010
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Oui. Bravo !
Non, alors retournons sur le site du château de Quesmy pour y lire :
Cy gist Messire Jean François Alexandre de Macquerel, chevalier, seigneur de Quesmy, Montbrehain et autres
lieux.
Décédé le 13 décembre de l´année 1780 âgé de 80 ans, ayant été trente ans capitaine au régiment de Fleury cavalerie. Il était fils de Charles-Robert de Macquerel et de demoiselle Charlotte de
Sart De Prémont, avait épousé en 1737, demoiselle Louise Le Carlier d´Herly, dont il a eu 7 enfants. Il est mort regretter de tous comme il en avait été aimé et estimé. Prier dieu pour son âme.
De ses sept enfants, Charles-François De Macquerel lui succéda dans la seigneurie de Quesmy. Son épitaphe placée dans la chapelle sépulcrale, nous apprendra ses titres et sa mort.
Quand on sait que dans la généalogie des seigneurs de Quesmy, Parpeville, Montbrehain,
Prémont et Essigny-le-Petit, on retrouve les familles de Sart (ou le Sart) et Macquerel qui s'unissent, on ne peut pas imaginer un seul instant qu'il n'y ait aucun lien de parenté entre les
seigneurs de Quesmy et ceux d'Essigny-le-Petit.
Mais quel est ce lien ?
Publié par jphb
22 août 2010
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Si vous êtes allé sur le site de cette demeure de charme, vous avez peut-être fait le lien entre ce village du
Noyonnais et Essigny. Sinon, voici deux indices :
Alors, vous avez fait ce lien ?
Publié par jphb
21 août 2010
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Puis le château.
enfin, plutôt l'ancien château :
En 1653, il fut incendié par les armées espagnoles. Un écuyer du roi en fut l´heureux propriétaire ainsi que de très grands
espaces s´étalant sur plusieurs dizaines de kilomètres.
Sa descendance le gardera jusqu´au 19ème siècle.
Durant la grande guerre il abritait un hôpital militaire allemand et fut détruit au départ des troupes en 1917. Il a été
reconstruit en 1919 par un industriel du sucre de la région dans son aspect d´aujourd´hui. La grande dépendance est restée intacte bien que son toit ait été rénové. Le jardin à la française est
resté dessiné comme a l´origine tout autant que le portail et les douves.
Puis l'actuel
Ce texte et le ces deux photos sont tirés du site de ce
château, lieu de réception pour mariages et chambres d'hôte.
Publié par jphb
20 août 2010
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Dans l'Oise, aux confins de l'Aisne et de la Somme, à Quesmy, village de 200 habitants, un illustre de ses anciens habitants a sans
doute eu des liens avec Essigny-le-Petit.
Permettez-moi de vous présenter d'abord l'église médiévale : l'architecture mélange un style roman (sculpture du choeur) avec des
formules nouvelles (murs de la nef en briques rouges rehaussées de motifs vernissés datant du XVIème siècle et reconstruction des parties détruites aorès la guerre de 14-18)
Publié par jphb
20 août 2010
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Deux petits matins bien différents.
Publié par jphb
19 août 2010
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La berge de la rigole a lâché entre Essigny et Remaucourt.
Sur la rive droite, des milliers de mètres cubes d'eau ont envahi la zone marécageuse et peut-être les champs et
pâtures un peu plus loin. En tout cas loin de zones habitées mais l'eau a peut-être fait monter momentanément le niveau de la Somme.
Deux photos de la brèche dans la rigole.
Publié par jphb
19 août 2010
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Pourquoi cette déesse égyptienne en titre d'article ?
Dans son introduction à l'Histoire générale de la Picardie, Dom Grenier dit que les noms d'Essigny-le-Grand et d'Essigny-le-Petit ont
beaucoup d'analogie avec celui d'Isis, la déesse égyptienne, soeur et épouse d'Osiris qui avait un temple )à Soissons, au temps des Romains.
Source : Généalogie-Aisne
Nous voilà encore plus loin des mille ans que nous fêtons !!!
Publié par jphb
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dans
Les 1000 ans
19 août 2010
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07:09
Petit moment de frayeur ce matin : la rigole est à sec ou presque....
Renseignements pris, on rebouche des fuites en colmatant avec de l'argile et il est nécessaire de faire baisser le
niveau de manière importante.
Publié par jphb
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dans
La vie communale
18 août 2010
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C'est le fondeur de la cloche de l'église. En voici une notice biographique.
WAUTHY Charles Ce fondeur a coulé des cloches pour
le carillon de Armentières.(9.cloches) -
Carvin.(22.cloches) - Douai.(2.cloches) - Lestrem.(3.cloches) - Lille.Sacré-Coeur.(35.cloches) - Lille.Sainte-Catherine.(9.cloches) - Lille.Treille.(41.cloches) - Tourcoing.(5.cloches)
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Charles Wauthy, fils d'un fondeur de fonte va reprendre la fonderie de cloches de son voisin Charles II Drouot qu'il connaissait
bien, jusqu'en 1908. Suite à la destruction de l'usine durant la guerre 1914-1918, la fonderie est reconstruite et l'activité reprend en 1919, la première cloche sortie des ateliers sera
le bourdon de l'église Saint-Pierre de Douai.
En 1925, la production annuelle atteint 280 tonnes de cloches. La maison Wauthy produira un grand nombre de cloches d'églises pour repeupler les clochers des zones dévastées par la
guerre. Elle produira aussi quelques carillons neufs (Lille, Carvin, Orchies), malheureusement de piètre qualité musicale, ce secteur n'étant pas la spécialité de la fonderie. Dès 1933
s'annonce le déclin de la fonderie, peut-être accéléré par la création du carillon de Seclin, signé du fondeur anglais Gillett & Johnston et d'une grande qualité musicale. Elle
cessera son activité définitivement à la veille de la seconde guerre mondiale.
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Publié par jphb
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dans
Les 1000 ans
17 août 2010
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Histoire et généalogie axonaise, le bulletin semestriel de Généalogie-Aisne publie des extraits des
"Promenades autour de Saint-Quentin" par Charles Poëtte, vers 1890.
Il y est question de la commune d'Essigny-le-Grand mais une allusion à notre commune concerne la présence ou non d'un
moulin à eau sur Essigny-le-Grand.
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Ce bulletin (n°8) est en vente au prix de 6 euros à la Maison de la Presse sur la place de l'Hôtel de ville à
Saint-Quentin.
Vous pouvez accéder au site de Généalogie-Aisne : voir le lien dans la colonne droite de ce blog.
Publié par jphb