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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 09:00
Les décors lumineux se mettent en place depuis ce matin mais ne seront allumés qu'à partir de la Saint-Nicolas.

De nouveaux décors entièrement faits par le personnel communal (Christine et Arnaud) viendront s'ajouter cette année dans les rues du 8 mai et du Puits sur les nouveaux candélabres qui devraient être posés dans les jours qui viennent.

On critiquera sans doute la consommation d'énergie nécessaire au fonctionnement des illuminations responsable de l'effet de serre et du réchauffement de la planète.


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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 09:00

Fondateur en 1896 de la société qui fut à l'origine de Zodiac, Maurice Mallet à la suite d'une première ascension en ballon verra sa vie bouleversée.

Maurice Mallet se lia d'amitié avec Paul Jovis, aérostier célèbre du XIX siècle. Ils fondèrent ensemble une société d'aérostation baptisée l'Union Aéronautique de France. Après la mort brutale de Paul Jovis en 1891, Maurice Mallet poursuivit seul ses recherches aérostatiques; en 1892, il fit, en trois jours, le plus long voyage aérien jamais réalisé, de Paris à Walhen (Allemagne).

Constatant le goût de ses compatriotes pour les ascensions dans les airs, il fonda, le 22 décembre 1896, associés à deux amis, la société Mallet, Mélandri et de Pitray. Installé dans le Bois de Boulogne, leur parc aérostatique connut un franc succès dès son inauguration au printemps 1897. Rebaptisés "Ateliers de constructions aéronautiques Maurice Mallet" en 1899, ses ateliers prospérèrent, soutenus par les commandes régulières de l'Aéro-club de France. Certain de l'avenir de la navigation aérienne, Mallet réussit à convaincre ses jeunes amis aéronautes de créer une société avec lui.

Constituée le 5 mars 1908, La Société française des Ballons dirigeables allait lui permettre de franchir une nouvelle étape de son aventure industrielle. Cette société naquit d'un accord entre Maurice Mallet et le comte Henri de la Vaulx. Les ateliers Mallet furent parmi les seuls ateliers de l'époque à se constituer en industrie. Mallet décida de se lancer sur deux marchés jusqu'alors très confidentiels : les particuliers et les grandes entreprises commerciales et industrielles, auxquelles il proposait le dirigeable comme un support de réclame aussi voyant qu'inédit. Le dirigeable, premier prototype des futurs autoballons de sport Zodiac, était doté des qualités de transportabilité et de démontabilité qui firent la renommée de la société.

Conçu sur les mêmes principes, le premier Zodiac démontable, dit Zodiac I, fut construit en 1909.

 

L'origine de cette marque, déposée le 2 février 1909, et de son logo - les signes du zodiaque traversés par un dirigeable -, et surtout le mot Zodiac orthographié à l'anglaise, restent une énigme. L'entreprise jeta également les premières bases de son organisation commerciale à l'étranger (Etats Balkaniques, Japon, Canada et Etats-Unis) par l'intermédiaire d'agents exclusifs. La société avait fait de la fabrication des autoballons l'une de ses spécialités.

 

 

Documents du site "Zodiac aerospace"

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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 09:00
"Le dernier wagon" est un livre de Jean-François Chaigneau. On y parle d'Essigny.

Sur la jaquette :

17 août 1944.
Alors que les Alliés
sont aux portes de Paris,
le capitaine SS Aloys Brunner
s'entête à déporter
les mille quatre cent sept juifs
encore enfermés au camp de Drancy.
Mais il ne trouve
qu'un seul wagon à bestiaux
qu'il remplit
avec cinquante et un Juifs.

Ce sont d'abord
trente-six combattants
de l'ombre,
"terroristes dangereux".
Puis quinze "notables",
parmi lesquels :
une famille apparentée
aux Rothschild,
une princesse d'origine russe
et un célèbre industriel,
le futur père des Mirages.

Tout, dans le dernier wagon,
sépare en apparence
ces deux communautés
d'hommes et de femmes
promises au même sort.
D'un côté, des hommes d'action ;
de l'autre, des grands bourgeois
encombrés de leurs bagages.

Devant l'inacceptable,
chacun réagit à sa manière.
Pour les uns,
instinct de survie
plus fort que tradition ;
pour les autres,
comportement dérisoire.
Un climat de suspicion
s'installe entre les deux clans.

Cette hallucinante traversée
de la France
durera quatre jours
et quatre nuits....


A suivre
 
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26 novembre 2009 4 26 /11 /novembre /2009 09:00

Lu dans un quadrihebdomadaire axonais suite à l'assemblée générale du foyer culturel l'Espoir du 1er octobre dernier

Un foyer affaibli après son assemblée générale

 

Le foyer culturel L'Espoir a enregistré plusieurs démissions.

Malgré un bilan fort honorable, le foyer culturel L'Espoir est sorti affaibli de l'assemblée générale qui s'est déroulée jeudi et qui a vu la démission de la vice-présidente, du trésorier et de la responsable des animations pour enfants...

 

Il est vrai que les activités menées au cours de cette année ont connu un succès moindre. Le succès avéré d'une animation n'est plus le gage d'une réussite l'année suivante. Seule la brocante du 8 mai échappe à ce phénomène d'usure rapide. Dominique Thaissart, le trésorier, a présenté ensuite un compte d'exploitation équilibré et un bilan qui ne lui ont valu que des éloges. Le renouvellement du bureau, malgré les démissions annoncées, n'a provoqué aucun suspense puisque tous les présents susceptibles d'en faire partie ont été élus.
Deux d'entre eux ont été reconduits dans leur fonction : Geneviève Douay et Guy Laporte, respectivement présidente et vice-président. La trésorerie échoit à Patrick Pertus, précédemment secrétaire. Elodie Droit sera secondée par Gisèle Nehari au secrétariat tandis qu'Arnaud Fontaine gèrera le stock et le matériel. Exit donc un poste de vice-président et celui de responsable de l'animation pour enfants.
Il est évident que le programme 2009-2010 va se ressentir de cette désaffection des Essignyacois et plusieurs animations ont été annulées ou inscrites après des hésitations.

 

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 09:00
En 1907, M. Douxami, professeur à la faculté de Lille, fait état des recherches d'un géographe américain, Michel Lewis. Ce dernier affirme que la Somme actuelle n'est qu'un vulgaire affluent de la Somme préhistorique. D'après celui-ci, cette dernière prenait à l'origine sa source en Lorraine et passait par Verdun, Sedan, Charleville, puis par le cours de la Vence et de l'Aisne pour gagner Montdidier, Amiens par l'Avre, où elle roulait 3 fois plus d'eau que la Seine à Paris, et enfin, recevait l'Oise comme affluent.


Lu sur le site de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 09:00

Deux grandes cheminées métalliques flanquaient un bâtiment aujourd'hui disparu de l'ancienne laiterie de la S.A.F.R. (société anonyme des fermiers réunis).
La S.A.F.R. a été intégrée dans le groupe BEL en 1976. A cette époque la laiterie d'Essigny avait déjà été remplacée par un entrepositaire de boissons (Ets Férat père & fils).

Vous pourrez trouver mention de la laiterie d'Essigny sur les sites suivants

Le site des 3 moulins

le site d'un collectionneur d'étiquettes de fromages


Cette carte postale date de la décennie 50-60 (collection de Dominique Poizot).

Vous pourrez retrouver d'autrres cartes postales de la même époque sur le site de la commune.


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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 09:00
Vu sur le site d'un hebdomadaire picard


Son oncle Gaston lui avait conseillé d'acheter une « mob ». Agnès ne regrette pas.

 

Elle l'appelle tendrement sa « pétoire. » Agnès Legrand, 54 ans, chevauche chaque jour de la semaine sa vieille mobylette Motobécane, année 1988, machine qu'elle possède depuis une décennie. Cette mère de famille d'Essigny-le-Petit qui travaille à l'école de Lesdins comme aide cantine, femme de ménage et accompagnatrice de bus, est une inconditionnelle de « la bleue », le surnom donné à ce cyclomoteur longtemps fabriqué à l'usine de Rouvroy-Morcourt. « Mon oncle Gaston qui travaillait à Motobécane m'a un jour conseillé d'en acheter une. C'est du costaud me disait-il », rapporte Agnès Legrand. « Ma première Motobécane m'avait été offerte par ma mère, voici plus de 20 ans. C'était une grosse orange, qu'on m'a un jour volé. J'étais très triste. »

Celle qu'elle utilise actuellement est sa 3 e Motobécane. Entre deux, il y a eu une infidélité... avec une Peugeot 103. « C'était nul, elle était plus petite et elle boostait moins. »

Au guidon de sa bleue, notre fringante cyclomotoriste multiplie les allers-retours Essigny-Lesdins, au moins 30 kilomètres par jour, depuis un an et demi et l'entame de son nouveau travail. Son mari René et son beau-frère lui ont réparé le compteur qui affiche un improbable total de « 1 012 kilomètres », assure la bikeuse, au casque gris. « Le seul problème avant, c'était la lumière trop faible, plus faible qu'une lampe électrique. Chez Deplay, ils ont tout encore pour ces mobylettes-là. Ils m'ont changé le globe, j'ai maintenant un bon voltage et tout roule. » Sur son deux-roues du XXe siècle, Agnès Legrand est à l'aise et reconnaissante. « C'est mon outil de travail et ma compagne qui m'emmène partout. » Son mari a voulu lui payer une voiture sans permis. « Sûrement pas. Ma mobylette va plus vite » coupe l'intéressée. ça se garde une « pétoire. »

N.T.

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 09:00
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 09:00

Les tampons à date de la poste d'Essigny qui desservait Fontaine-Uterte
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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 09:00

On pourrait retrouver avec une précision de quelques jours la date de la prise de vue : l'école en construction pour l'année et la présence d'un manège sur la place de la mairie à l'arrière-plan.
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