« Piano à bretelles », « piano du pauvre », « boîte à frisson », « branle-poumons », « boîte à chagrin », « soufflet à punaises », « dépliant », « calculette prétentieuse », « boîte à soufflets » et « boîte du diable ».
Parmi ces nombreux noms d'emprunt, je pense que vous en avez reconnu au moins un.
Et l'Essignyacois et accordéoniste à l'honneur dans "Visages d'un fleuve : la Somme", c'est Yves Bednarek.
Dans le catalogue de l'expo, le gérant du Ledy Dancing raconte : "J'ai acheté l'ancienne laiterie pour faire une guinguette... J'ai la Somme qui passe au bout de mon terrain. Le coin est magnifique."
Quand on parle d'accordéon à Essigny, d'autres auront une pensée pour Maurice Laville et se souviendront de l'orchestre
des "4 canards"* avec Maurice, donc, Jean Petit, Patrick Pertus et Daniel Dumoutier. Marie-Thérèse et Gérard Denimal les accompagnaient parfois. C'était au siècle dernier.
* Cétait bien le nom de l'orchestre qui animait les repas et soirées du foyer culturel. Quant à la façon d'écrire "canards", il y avait peut-être bien un K initial.