En prélude aux festivités du 14 juillet, on a pu entendre la Brabançonne, God Save the Queen, La Marcha Real et le Deutschlandlied sur la plage de l'hôtel de Ville de Saint-Quentin.
Les hymnes nationaux anglais, espagnol et allemand pour les villes jumelées de Rotherham, San Lorenzo de el Escorial et Kaiserslautern.
L'hymne belge, la Brabançonne : pour des liens historiques : l'évacuation de la population vers ce pays voisin en 1917 ?
D'autres musiques complétaient ce programme : "le temps des cerises", "les fiancés d'Auvergne" (évocation des bals musettes du 14 juillet et hommage à André Verchuren, ancien résistant et déporté, compositeur prolixe, décédé il y quatre jours), "Jolie môme" (hommage à Léo Ferré, décédé il y a 20 ans, le 14 juillet 1993).
L'ôde à la joie (extrait de la 9ème symphonie de Beethoven), devenue l'hymne européen, clôturait cette demi-heure de musique.
Et un seul interprète pour ce concert éclectique :
Francis Crépin, le carillonneur saint-quentinois