Une première tranche de modernisation des réverbères est en cours. De jour, la différence est peu visible : il faut lever la tête pour remarquer que les luminaires ont été remplacés par d'autres, semblables mais sans vitres et équipés d'une dalle de LEDs.
De nuit, la différence est visible : l'éclairage, plus blanc, est dirigé vers le sol, réduisant ainsi la pollution lumineuse nocturne, nuisible à la faune et à la flore.
La consommation électrique est divisée par trois. C'est une source d'économie importante. La durée de vie de ce type d'éclairage est au moins d'une vingtaine d'années au lieu de 7 actuellement. Cela influe sur les frais de maintenance et sur le volume de déchets électroniques. Tout cela est bon pour le budget communal et bon pour la planète.
Mais est-on mieux éclairé qu'avant ?
Les décors de Noël faussent un peu la comparaison entre les leds à gauche et les lampes orange à droite.
Une autre amélioration a été apportée à l'éclairage public : la télégestion avec les armoires "communicantes" :
Plus besoin d'aller d'une armoire électrique à l'autre pour modifier la programmation hebdomadaire (au moment des fêtes de fin d'année, par exemple), pour éclairer avant ou après un évènement exceptionnel, pour un allumage d'urgence en temps réel (lors d'un accident, d'un sinistre).
Une seconde tranche est prévue en 2025.
Le remplacement de la cinquantaine de disjoncteurs sécurisant les éclairages de Noël fera l'objet d'une tranche ultérieure.