En vente sur un site de collectionneurs, deux vues aériennes d'Essigny-le-Petit et du parc d'avions allemands de Courcelles prises le 18 juin 1918.
Sur le site Delcampe, tapez Essigny dans le moteur de recherches.
Sur l'autre blog "Essigny-le-Petit, naguère et jadis, parfois aujourd'hui", la photo de presse d'un mariage célébré en l'église Saint-Didier le 3 septembre 1966 en suivant ce lien.
C'est le montant auquel démarrent les enchères pour cette carte postale du bureau de poste de la commune.
Retrouvez les enchères sur le site delcampe.net en cliquant ici.
A Essigny, qui étaient les "vert et rouge" ?
A Essigny, avant le bar "Le Tahiti", y aurait-il eu un autre bar dancing "Le Tamouré" ?
A retrouver sur l'autre blog en cliquant ici ?
Avec une photo de presse sur laquelle vous reconnaîtrez peut-être des Essignyacoises et/ou des Essignyacois ?
Depuis sa visite de la Halle aux Cuirs, l'autre blog s'est intéressé :
Des nouvelles de Filochard et Ribouldingue début février.
Bonne lecture !
Filochard et Ribouldingue mais pas Croquignol.
Les noms de deux des Pieds Nickelés ont été les pseudos de 2 Essignyacois.
Qui et quand ?
Le géocaching nous a conduits autour de l'église de Lesdins pour la recherche d'un "trésor", d'une géocache.
La visite du cimetière attenant nous a permis de nous arrêter devant les armoiries des derniers seigneurs d'Essigny-le-Petit : la famille de Chauvenet.
"De gueules à deux gerbes accostées d'or", c'est ainsi que se blasonnent les armoiries de la famille de Chauvenet de Lesdins.
"gueules" pour rouge
"or" pour jaune
"accostées" pour côte à côte
Ce sont les deux gerbes de blé que l'on retrouve sur le blason de la commune.
g&jph
Cahiers de doléances. Il y a quelques semaines encore, la référence était ceux rédigés avant la Révolution française.
Ce cahier des doléances, plaintes et remontrances de la municipalité d'Essigny-le-Petit rédigé le 1er mars 1789 est conservé aux archives départementales. "L'autre blog" vous l'a présenté le 24 septembre 2017 et les jours suivants.
Retrouvez le premier article en cliquant sur l'image.
A 230 ans d'écart, les similitudes ne sont pas rares.
L'Aisne nouvelle consacre une page entière à ce héros de la résistance Guy Bieler dans son édition du jour.
Trois rues portent son nom : à Saint-Quentin, Morcourt et Fonsomme.
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