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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 09:00

Les vertes Places, le long Crinquet, les hautes Bornes.

Trois lieux-dits essignyacois en direction d'Homblières.

On peut également découvrir des noms de propriétaires, de fermiers : Roger, Delaplace (à Courcelles), Quennesson, Lepreux, Demarolle, Mennechet, Pagnon (à Courcelles), Legrand, Harengue.

5 décembre 1834 - suite

Curiosité de ce document : les unités de surface : à droite, en hectares, ares et centiares ; à gauche des mesures de l'ancien Régime.

J'avoue que je sèche un peu. Qui pourrait m'en dire un peu plus sur ces unités et la conversion en unités "modernes" ?

5 décembre 1834 - suite
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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 09:00

Cejourd'hui cinq décembre mil huit cent trente quatre,...

Émile Mennechet, arpenteur forestier, a dressé ce procès-verbal d'arpentage de terres données à bail à Quentin ROGER.

5 décembre 1834

La première terre arpentée est située au lieu-dit "les Vertes Places" (avant-dernière ligne de cette page).

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 09:00

Dans le Journal du 13 mars 1911, on peut lire que Monsieur Alfred ROGER est honoré de la distinction d'Officier d'académie*. A cette époque, Alfred ROGER, agriculteur à la ferme du Buisson était le maire de la commune (vers 1905-1912).

Auparavant, le 30 janvier 1906, Monsieur Alfred ROGER avait reçu la distinction de chevalier du Mérite agricole.

La violette comme la couleur de la distinction qui honore les membres de la communauté éducative, le poireau à l'image de la couleur verte prédominante du ruban de la distinction agricole.

* En 2014, il aurait été nommé chevalier des Palmes académiques.

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 19:00

Monsieur Crignon , conseiller municipal, expose à l'assemblée qu'il importe, dans un intérêt de sécurité publique, de fixer une vitesse que les conducteurs d'automobiles ne devront pas dépasser dans la traversée du village.

Le conseil,

après délibération, arrête :

Article unique : Les camions automobiles ne devront pas dépasser la vitesse de 8 km à l'heure et les voitures de tourisme 15 km à l'heure dans la traversée du village.

L’assemblée décide ensuite que des plaques mentionnant l'arrêté municipal seront posées aux entrées du village, mais à la condition qu'elles ne coûtent rien à la commune.

Lors de la même séance

Monsieur Macaigne, conseiller municipal expose au conseil qu'étant donnée la circulation intense de la commune, qu'étant donné le nombre imposant d'autos dans les rues, il serait utlie et nécessaire pour renseigner les personnes que de grandes plaques indicatrices soient posées ainsi que l'ont déjà fait d'autres communes.

L'assemblée

après délibération, approuve ladite proposition mais à la condition que ces plaques indicatrices ne coûtent rien à la commune.

Nous étions le 9 juillet 1925 et on parlait déjà de vitesse excessive, de circulation intense,...

Circulation intense ? A voir sur cette carte postale de l'époque, ce n'est pas prouvé.

Circulation intense ? A voir sur cette carte postale de l'époque, ce n'est pas prouvé.

Le maire fait donc appel la firme Citroën pour la fourniture des plaques indicatrices.

Le 18 décembre 1925, Citroën répond qu'elle a bien reçu la demande de plaques indicatrices de la commune mais que, vu le nombre considérable de demandes, il lui est impossible de fixer le délai sous lequel elle pourra faire parvenir ces plaques. D'ailleurs ce sera leur inspecteur de la région qui s'en occupera ; donc attendre sa visite.

Vitesse et circulation
Vitesse et circulation

Sans doute des plaques semblables à celles-ci fabriqués à l'émaillerie Japy de Beautor.

Ces plaques émaillées s'arrachent entre collectionneurs à des prix dépassanr 2000 euros.

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10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 08:00

Ont donné les maîtres et élèves des écoles de :

Croix Fonsomme 12 fr

Essigny-le-Petit : 2 fr

Fontaine-Uterte 1 fr 50

Remaucourt 1 fr 50

pour une souscription ouverte dans les écoles du département en faveur des Colons de l'Algérie. C'était en 1866.

Extrait du bulletin de l'instruction primaire pour le département de l'Aisne du 15 août 1866

Fonsomme a versé 3 fr 50 un peu plus tard. On en trouve la trace le 15 novembre 1866.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 09:00

A la suite de la démission d'Eugène TRESSENS (voir l'article du 18 mars), est organisée une élection municipale complémentaire. Le 23 décembre est élu, sous l'étiquette SFIO, Victor TRUFFIER.

Il est décédé le 2 janvier 1946 sans avoir siégé. De nouvelles élections complémentaires sont organisées le 27 janvier 1946. Georges MATHIAS, SFIO également, est élu.

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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 09:00

Le premier d'entre eux est Eugène BOUCLY maire du 18 décembre 1944 au 16 mai 1945. Il retrouvera un mandat de conseiller municipal en 1947.

Le second est Étienne TRESSENS qui fut élu maire le 17 mai 1945 et qui démissionna le 4 décembre 1945 pour raison de santé. Employé SNCF, il a été élu sur une liste communiste.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 09:00

Rares sont les photos des conseils municipaux essignyacois au grand complet.

Voici une photo du 8 mai 1986 où on peut identifier cinq d'entre eux, mais aussi, un ancien maire, un ancien conseiller, un futur conseiller (à cette époque).

Le conseil de l'époque était composé de Michel Bockstal, Daniel Dumoutier, Gérard Jacquemont, Henri Vasset, Maryse Dagnicourt, Jacques Édouard, Claude Vasset, Marie-Flore Wojciak, Daniel Schemith, Jean-Marie Racine, Alain Férat.

Les équipes municipales
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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 09:00

Il faut remonter plus de 75 ans en arrière pour trouver la première entente entre les 3 communes du regroupement pédagogique intercommunal. Il ne s'agissait pas d'école mais de sport.

Il s'agissait de l'Entente sportive Croix-Fonsomme - Fonsomme - Essigny-le-Petit créée le 7 janvier 1937 (Journal officiel du 5 février 1937.

Le but : tous sports

Le siège : le café du Cheval Blanc à Fonsomme.

On aperçoit l'enseigne de ce café sur la gauche de la carte.

On aperçoit l'enseigne de ce café sur la gauche de la carte.

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 09:00

Grécourt, c'est un petit village picard du canton de Péronne dans la Somme. Seulement peuplé de 23 habitants. Il y avait une discothèque dans ce village

 

Grécourt, c'est aussi Jean-Baptiste Joseph Willart de Grécourt, poète du XVIIIème siècle.

 

Grécourt, c'est aussi le patronyme d'anciens de la commune. Attachés à notre commune*, même s'ils n'y sont restés que quelques années.

C'est Amédée, le maître d'école de 1928 à 1932, son épouse, leur fils Edgard et leur fille Yvette, décédée le mois dernier, à l'âge de 91 ans.

Edgard, le fils du maître d'école épousa Renée Baland, une Essignyacoise également. On peut les voir sur la photo que vous trouverez sur le site de Généalogie Aisne en cliquant ici.

Vous y reconnaîtrez (peut-être) une Essignyacoise : Agnès ROGER née BOCHEUX mais aussi  vos parents, grands-parents, oncles, tantes,...

Vous pouvez également retrouver Edgard Grécourt sur sa fiche du site Copainsdavant.

Edgard avait organisé une retrouvaille d'anciens élèves de la communale le 20 octobre 1991.

Cet été, il a passé quelques minutes dans l'ancienne école où j'ai eu la surprise de l'accueillir dans le secrétariat, la salle à manger du maître d'école jusqu'aux années 1950.

* Edgard est l'auteur d'un livret "Tatzie ou ma vie à l'école de notre village (1928-1932)".

 

Edgard GRÉCOURT

Grécourt
J-16 pour les 93 ans d'Edgard Grécourt

J-16 pour les 93 ans d'Edgard Grécourt

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