Le géocaching nous a conduits autour de l'église de Lesdins pour la recherche d'un "trésor", d'une géocache.
La visite du cimetière attenant nous a permis de nous arrêter devant les armoiries des derniers seigneurs d'Essigny-le-Petit : la famille de Chauvenet.
"De gueules à deux gerbes accostées d'or", c'est ainsi que se blasonnent les armoiries de la famille de Chauvenet de Lesdins.
"gueules" pour rouge
"or" pour jaune
"accostées" pour côte à côte
Ce sont les deux gerbes de blé que l'on retrouve sur le blason de la commune.
C'est un conseil des gendarmes et des policiers : ne jamais laisser une échelle dehors, trop tentant pour les voleurs qui peuvent ainsi accéder aux fenêtres un peu hautes.
Il n'y a pas que les voleurs qui sont tentés.
Pour avoir laisser un escabeau dehors afin que mes petits-enfants puissent nourrir les oiseaux.
Cahiers de doléances. Il y a quelques semaines encore, la référence était ceux rédigés avant la Révolution française.
Ce cahier des doléances, plaintes et remontrances de la municipalité d'Essigny-le-Petit rédigé le 1er mars 1789 est conservé aux archives départementales. "L'autre blog" vous l'a présenté le 24 septembre 2017 et les jours suivants.
Retrouvez le premier article en cliquant sur l'image.
L'entête du cahier des doléances du 1er mars 1789
A 230 ans d'écart, les similitudes ne sont pas rares.
Ce qu'en retiennent les journaux : si le Courrier picard mettait l'accent sur l'école, c'est sur la lutte contre les inondations que titre l'Aisne nouvelle du lundi 15.
Retrouvez les différents thèmes abordés par Christian Pierret, le premier magistrat fonsommois, lors de la cérémonie des vœux organisée vendredi dernier.
C'est dans le Courrier picard du jour (en ligne ou en version papier).
La Halle aux Cuirs de Saint-Quentin qui a compté plusieurs salariés essignyacois dont Michel Bockstal, dirigeant de cette société et maire de la commune. "L'autre blog" consacre deux articles à cette entreprise.
La distinction honorifique décernée à Raymond Gras
"L'inconnu" de l'article du 3 janvier 2019 était donc Michel Bockstal, alors âgé de 20 ans. Il fut maire adjoint à compter du 20 mars 1977 (élection municipale du 13 mars 1977) puis maire du 16 janvier 1982 jusqu'à son décès le 4 avril 2002.
"L"autre blog" reparlera de Michel Bockstal dans un tout autre domaine dans quelques jours.