4 février 2010
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Si les bâtiments de la sucrerie de Courcelles ont disparu -elle a été détruite lors
de la 1ère guerre mondiale- on trouve sur la toile des cartes postales et autres documents sur le fonctionnement de cette fabrique.
3 février 2010
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Lu dans un quadrihebdomadaire axonais
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La vie communale
29 janvier 2010
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(Photo Christine Dupuis)
Aurait eu fière allure dans ses vêtements de seigneur.
Le costume masculin de cette époque se caractérise par son ampleur et par la somptuosité et l'extravagance de ses détails.
À partir de 1650, le costume laisse derrière lui la sobriété du règne de Louis XIII. Sous Louis XIV apparaît la rhingrave. Il s'agit d'une culotte dont les jambes sont très larges avec
de nombreux plis. Cette pièce est tellement large qu'elle ressemble à une jupe ; la rhingrave est garnie de dentelles et de boucles de ruban très abondantes. Sur les souliers, les
roses succèdent à des nœuds en ailes de moulin. La rhingrave atteint son maximum en largeur en France, en Allemagne et en Angleterre alors que l'Espagne paraît ne pas être influencé par
cette mode.
Après 1680, ces haut-de-chausses bouffants deviennent de moins en moins larges jusqu'à devenir collants.
Le pourpoint se raccourcit et s'ouvre sur le devant pour laisser entrevoir entre celui-ci et les chausses la chemise portée bouffantes. Les manches sont très courtes. Le costume est surchargé de
garniture (notamment de bouclettes de ruban appelées petites oies). Puis le justaucorps fait son apparition et se porte sur la veste. La veste, anciennement appelé le pourpoint, est un
vêtement de dessous. Le devant et les manches de la veste sont en riche tissu et le dos en étoffe commune. Avec le temps, la veste se réduit en longueur et perd ses manches pour devenir le gilet.
Le chapeau est en feutre et empanaché, mode suivi dans la rue avec une plume de faisan en garniture[7].
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Les 1000 ans
28 janvier 2010
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Photo Christine Dupuis
Greffier municipal dans une autre vie, il avait même adopté les sabots de bois.
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Les 1000 ans
27 janvier 2010
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(Photo Christine Dupuis)
Théophraste Renaudot, né en 1586 à Loudun (actuel département de la Vienne) et mort le 25 octobre 1653 à Paris
est un journaliste, médecin et
philanthrope français. Il est le fondateur de la publicité et de la presse française par ses deux créations du
Bureau
d'adresse (1629) et de
la Gazette, journal hebdomadaire (30 mai 1631). Médecin ordinaire du roi, il fut nommé « commissaire aux pauvres du royaume
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Les 1000 ans
26 janvier 2010
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(Photo Christine Dupuis)
Au temps de Louis XIV, aurait pu être la préceptrice des enfants du seigneur d'Essigny.
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Les 1000 ans
25 janvier 2010
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(Photos Christine Dupuis)
Laquais d'un jour seulement.
Au sens originel du terme, un laquais est un valet portant livrée aux armes de son maître.
Apparu dans la langue française aux environs de 1450-1470, avec quelques variantes orthographiques à ses débuts, ce mot, d'origine inconnue, a subi divers glissements sémantiques, tous dans un
sens péjoratif, et ce dès la première moitié du XVIIIe siècle (expression
« mentir comme un laquais »), voire auparavant.
Le sens élargi de « personne servile » (c'est-à-dire manifestant une soumission avilissante et quasi-masochiste à autrui, indigne d'un homme libre), est probablement apparu vers la
même époque.
[Wikipedia]
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Les 1000 ans
24 janvier 2010
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(Photo Christine Dupuis)
Le tiers-état, la noblesse et le clergé.
Les habits paysans
La plupart des paysans sont habillés de vêtements sombres car ils sont moins salissants et surtout moins coûteux que les étoffes des nobles. Afin de se protéger du soleil les femmes portent des
bonnets et les hommes sont coiffés d'un chapeau. Les enfants sont habillés généralement des vêtements usés de leurs parents.
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Les 1000 ans
23 janvier 2010
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(Photo Christine Dupuis)
Gentes dames et leurs servantes.
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Les 1000 ans
22 janvier 2010
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(Photo Christine Dupuis)
Notre premier magistrat n'avait pas revêtu la tenue majestueuse du monarque absolu :Louis XIV n'est pas sa référence pour gérer la commune.
Durant le règne de Louis XIV (1643-1715), au moins 5 seigneurs se sont
succédé sur la seigneurie de Petit Essigny.
[1628] : Nicolas de Sart, écuyer, seigneur de Prémont, contrôleur. Femme : Jeanne
Mattet. Eurent 4 enfants.
[1640] Le 4ème : Simon, seigneur du Petit-Essigny.
"On tient dit de la Fons, qu'il a trouvé un mulet Chargé d'argent en sortant de Paris durant les guerres".
Femme : Françoise d'Alles ; enfant, Jeanne qui porta ce domaine à
[1653] Louis de Macquerel; enfants : Charles ( ?), Marguerite, Antoine
[1687] Charles de Macquerel, seigneur; épousa en secondes noces Louise de Fonsomme; enfants : Charles, Marie-Anne
La terre d'Essigny passe ensuite (comment ?) à la famille de Chauvenet :
Alexandre (1645 - 1711) puis à son fils
Alexandre-Antoine de Chauvenet (1682 - 1762)
Sources : Dictionnaire historique du département de l'Aisne, de Melleville ; différentes généalogies diffusées sur la toile ; documents anciens numérisés (Gallica, Google
books,...)
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Les 1000 ans