Adaptation au cas par cas de la voirie aux personnes à mobilité réduite.
Adaptation au cas par cas de la voirie aux personnes à mobilité réduite.
Devinettes.
Connaître le nom de ses aïeux est une chose. En savoir plus sur leur vie, leur métier est captivant.
Voici quelques métiers trouvés au hasard de recherches sur Fonsomme :
Ces métiers étaient exercés à la fin du XIXème ou au début du XXème siècle.
Faut-il chercher du côté de la broderie (il y aurait eu une entreprise nommée "Les Broderies de Fonsomme"), l'industrie sucrière (la sucrerie de Courcelles a été détruite pendant la 1ère guerre mondiale) ?
Qui pourrait nous éclairer sur ces métiers ?
Information parvenue en mairie ce vendredi 14.
Les inscriptions pour la visite du Salon de l'Agriculture sont encore ouvertes ; cependant il ne vous reste que deux voire trois jours pour vous inscrire, après il sera trop tard.
On peut profiter de l'occasion non pour visiter le salon mais pour une grande balade en toute liberté dans Paris.
Revoir l'affichette ci-dessous
Ou plutôt ... marchande de charbons.
En 1904, dans l'état-civil de Fonsomme, on peut lire :
Clémence Suzannie Armance TELLIER, âgée de 52 ans, marchande de charbons à Essigny-le-Petit.
A cette date, elle était veuve de Maurice Maximilien CHEVALIER, de son vivant, chef cantonnier.
Cette dame était présente et consentante au mariage de son fils Louis Maximilien CHEVALIER, cultivateur, né le 5 avril 1881 à Essigny-le-Petit avec Victoire BOURQUIN, brodeuse, née à Fonsomme le 6 février 1883, fille de feu BOURQUIN Jules Clément Louis Joseph et de MENU Marie-Louise Victoire, 50 ans, couturière.
Dans les années 1920, sur une facture de la maison CHEVALIER-BOURQUIN, il est fait mention de cafetier, vente de charbon, de bois de chauffage et de transports.
A cette époque Amédée CHEVALIER était maire adjoint, ce qui explique les remboursements demandés sur la facture ci-dessus "Avoir payé .... pour les prix du 11 novembre 1920"
Amédée CHEVALIER sera élu maire le 13 août 1922.
Il s'en est fallu peut-être de peu qu'Essigny accueille non pas des naufragés de la route mais des naufragés du rail.
Quelques photos prises par un cheminot dans le Vermandois.
Malgré les (ou à cause des) avancées technologiques, les situations exceptionnelles s'accommodent mal de la réduction des moyens humains.