"Pluies éparses" disait la météo, "pluies éparses", il y eut.
La matinée fut une alternance de nuages et de pluie ; la pluie emporta quelques brocanteurs avec elle mais la majorité resta et put profiter d'une après-midi avec quelques belles éclaircies.
Malgré la grisaille, les couleurs ne manquent pas sur le stand de bonbons
et sur le stand de pêche.
Ambiance assurée par notre ami Guy côté Fonsomme
juste avant le dernier stand consacré aux vélos.
Qui dit vide-greniers dit aussi beaucoup de vêtements d'enfants mais aussi quelques vieux outils tels ce râteleur...
...ou cette carriole pour transporter le lait.
Les bénévoles, souvent les mêmes d'une année sur l'autre, sont sur la brêche :
Jacqueline avec Gisèle, Huguette,...
... et Alexia, bien fatiguée en fin de journée.
mais aussi François et Arnaud aux manettes des saucisses, merguez,....
Dominique, sur tous les fronts....
Sans oublier Gérard, Olivier, Bruno, Christine, Patrick, Claude, Ludo, un copain de Ludo, Patrick, Georges, Gaël, Bernard, Nicolas, Vanessa et ses élèves.
Ils peuvent aussi, mais rarement, bénéficier d'un moment de repos.
On a aussi plaisir à retrouver d'anciens Essignyacois...
....que l'on espère revoir le mercredi 8 mai 2013 sur la prochaine brocante essignyacoise.
8 h 20 min en ce jeudi 10 mai.
Le cirque Amar descend la rue d'Isle. Une ribambelle de camions rouges roulant à un train de sénateur.
De quoi faire râler l'automobiliste le plus placide qui soit.
Quand, en plus, un des camions tombe en panne au feu rouge qui donne accès à la place du 8 octobre.
Le cirque,.... et doubement.
Quelques soucis techniques bloquent l'envoi des images vers le blog.
Des photos dès que possible.
67ème anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945
secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants
Nous sommes aujourd'hui réunis pour commémorer le 67e anniversaire de la victoire remportée par les armées françaises et alliées sur la barbarie nazie.
Après plus de cinq longues années de guerre, le nazisme est anéanti. C'est la fin du cauchemar que l'Europe a enfanté, qu'elle a traversé, qu'elle a vaincu. A l'Ouest, les démocraties sont victorieuses. La liberté 1'a emporté.
L'hitlérisme ne menace plus l'Europe et le reste du monde. Si l'humanité découvre l'enfer des camps de concentration et d'extermination, leur oeuvre de destruction monstrueuse a enfin cessé.
Tout au long de ce conflit, les Français ont vécu, ou survécu, entre crainte et espoir. En 1942, dont nous commémorons cette année le 70ème anniversaire, ces deux sentiments sont mêlés comme jamais.
1942, c'est en effet le temps de la honte, avec la mise en oeuvre de 1a Shoah, le port de l'Etoile jaune, les grandes rafles, les premiers convois vers Auschwitz. C'est le temps de 1a faim, de la peur, du mépris, celui des fusillades d'otages, de la Relève, de la conscription obligatoire - avant le S.T.O.- pour aller travailler en Allemagne
Mais 1942, c'est aussi le temps des espérances : les premières ripostes alliées, l'arrêt de la pénétration allemande sur le front russe, et la lueur d'espoir qui naît dans le désert libyen quand, à Bir Hakeim, des soldats de la France libre enrayent l'avance ennemie ; c’est aussi le débarquement allié en Afrique du Nord, prélude à la reconstitution de 1'armée d'Afrique. C'est enfin l'année où, dans l'ombre, se multiplient les contacts entre mouvements et réseaux clandestins qui vont renforcer la Résistance intérieure.
Lc 8 mai 1945, c'est la fin de ce temps de la crainte, l'aboutissement de ce temps de l'espoir, la Victoire.
En France, cette victoire est le fruit de l'effort, du courage, du sacrifice de toutes celles et de tous ceux qui n'ont jamais désespéré. A l'instar du Général de Gaulle, tous ont eu foi en notre pays, en sa capacité à mener le juste combat contre tout ce que le XXème siècle connaissait de plus absurde et de plus monstrueux.
Grâce à ces hommes et à ces femmes, différents par leurs origines, leurs histoires, leurs cultures, mais réunis par un idéal commun, la France a pu, après la guerre, retrouver pleinement son rang dans le concert des Nations.
Leur exemple a toujours valeur d'actualité. Car ils nous ont prouvé ce qu'une Nation riche de son histoire, portée par une même aspiration, unissant ses forces, est capable de réaliser pour surmonter l'insurmontable.
L'arbre abattu la semaine dernière, un noyer d'Amérique, a été planté dans les années quarante. Il avait donc dans les 70 ans, ce qui correspondrait à la durée de vie moyenne de cette variété.
Photo : Jean-Pol Grandmont
Il est utilisé comme arbre d'ornement ; il est exploité pour la qualité de son bois (notamment pour les crosses de fusil).
La coque de la noix est très dure.
Photo : Susan Sweeney
Le noyer d'Amérique résiste mieux aux maladies que le noyer commun dans les terrains humides.
On le nomme aussi noyer noir car son écorce est plus foncée que celle du noyer commun.
En Europe, on le trouve essentiellement dans les pays de l'Est.
(Renseignements recueillis auprès d'André Fréjat).
Au lendemain du 2ème tour de la présidentielle,
voici un extrait du compte rendu du 10ème Congrès national du Parti socialiste, section française de l'internationale ouvrière (SFIO) qui s'est tenu à Brest les 23, 24 & 25 mars 1913.